S01E05 - Bzzzz Bzzzz
Ce mois-ci : on va parler de bonnes vibrations, d'inclusion, des petites mains, de dharma et encore et toujours d'uberisation.
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“Bzzzz Bzzzz”
Bonjour à toutes et à tous.
Quelques nouveaux abonné-e-s mois-ci encore… bienvenue !
Vous allez voir, on parle de plein de choses ici… travail, entreprenariat, société. Si vous lisez tout et ouvrez tous les liens, vous aurez quelques sujets à aborder à la machine à café lundi pour votre retour au bureau. Heureusement pour vous (et pour moi), cette newsletter est mensuelle.
Bon, sachez qu’à l’heure où je vous écris ces lignes, je suis tout bouleversé.
Moi qui pensais avoir une imagination folle…
Moi qui pensais bien utiliser mon téléphone…
Voilà que Marie Dollé m’apprend dans sa dernière (super) newsletter que durant la période pandémique, le téléchargement des applications (pour smartphone) de vibrations ont explosé. Plus d’un millions de téléchargement par mois (dans le monde hein).
Et apparemment, ce n’est pas que apaiser une vilaine contracture musculaire.
Quand on vous dit qu’un téléphone portable ça ne se prête pas…
Par ici le programme
Au sommaire ce mois-ci :
🔊 quelques news fraîches
🎙️ l’interview d’Adrien Abadie qui inaugure les hors-séries de '“Un Zoom avec Zaide” avec un épisode dédié à l’inclusion professionnelle des personnes en situation de handicap
📺 le 1er épisode de notre série documentaire “Les Petites Mains”
✒️ une nouvelle carte blanche sur… vous verrez bien
🎁 un nouveau joli cadeau : une boîte à outils pour travailler sur vos projets
✏️ un petit “dessin” sur le dharma
🔭 5 articles que j’ai adorés en mai
🚀 la 3e partie de l’épisode “Start Up Nation” sur l’ubérisation
❤️ les coups de cœur du mois
LES PETITES MAINS
Je vous en parlais le mois dernier, le premier épisode de notre série documentaire “Les petites mains” est là.
Pour celles et ceux qui me suivent sur les réseaux, je vais vous épargner une nouvelle présentation en longueur du projet (pour les autres, la présentation est disponible ici).
Pour rappel, le projet consiste à valoriser le savoir-faire des invisibles, des premiers de cordée, des “essentiels”, qui exercent des métiers manuels bien souvent mésestimés.
Pour le 1er épisode, nous avons été à la rencontre de Didier Manjon et Bruno Brandelet, tous deux bouchers à Bruguières, que l’on remercie pour leur pour leur accueil !
Je vous laisse découvrir la vidéo. Avec Célestin, nous sommes très curieux d’avoir vos retours. N’hésitez pas à laisser un commentaire ici ou un message ailleurs.
Réalisation : Célestin Mathelin
Captation : Célestin Mathelin et Romain Enjalbert
Ecriture et direction artistique : Romain Enjalbert et Célestin Mathelin
Production : La Boîte à Zaide x Célestin Cognito
Bonus :
Nous avons profité du temps que l’on avait sur place pour faire un maximum d’images, pour pouvoir tester différents formats. En plus de la vidéo “Le reportage”, on a pu préparer 3 petits bonus
#1 : “Les coulisses”, un making-of vidéo de ce premier épisode 👉 ici
#2 : “L’entretien”, un interview long format de Didier Manjon, le fondateur et la dirigeant de la boucherie 👉 ici
#3 : “La séance d’écoute”. Attention, là, on frôle l’impertinence (voire le troll). Mais en regardant et en écoutant toute la matière que l’on avait, j’ai eu l’idée de créer une version ASMR de la série en mettant en avant l’aspect sonore du travail de nos invités. Amis vegan, abstenez vous car ça craque sévère 👇
C’est con mais ça me fait rire.
DU BAUME AU COEUR
Gros coup de baume cœur dans un moment où j’en avais besoin le mois dernier : la rédaction de LinkedIn qui a sélectionné mon billet sur les side projects (extrait du numéro 1 de la newsletter) pour son dossier dédié.
Ce coup de projecteur m’a permis de valider ma stratégie de création de contenus en m’encourageant à continuer à raconter ma vie. Et pour celles ou ceux qui se posent la question, l’impact sur la visibilité de mon billet et de mon profil a été énorme avec un “x 10” sur le nombre de lectures de l’article et un “x 30” sur le nombre d’interactions générées (like/love/curious).
Comme quoi, c’était pas si bête de lancer une newsletter.
MOODERATOR
Dans le cadre de l’édition d’avril de la newsletter de Mooderator, nous avons enregistré un nouvel épisode de notre podcast “Shuffle Mode”, dédié au grand Kanye West.
Pour l’occasion, nous avons invité Romain Garcin, directeur artistique de génie (l’homme derrière les pochettes de Damso) et grand fan de Ye.
L’épisode est disponible sur Anchor ici ou sur Spotify :
STUDIO 4:1
Ce mois-ci, c’est mon partner in crime Heyes qui a fait appel à mes services pour créer un site web mobile vitrine pour son studio. Heyes (Paul-Adrien pour les intimes) est le musicien qui se cache derrière tout l’univers musical de Mooderator. Je travaille sur la direction artistique de ces visuels depuis quelques mois et le développement de ce site vient marquer une nouvelle étape dans notre collaboration.
Ce mois-ci, un nouveau cadeau concocté avec amour qui ne paie pas de mine mais ça vaut son petit pesant d’or puisque c’est le résultat de quelques heures de recherches et de tests.
Je vous ai mis à disposition dans les rubriques “Cadeaux” et “Ressources” de mon site une “Boîte à outils” (si j’étais dans la start-up nation, je parlerais de toolbox).
Il s’agit d’une sélection de sites ou de logiciels tous gratuits que j’utilise sur mes différents projets, triés par type (design, vidéo, newsletter, communication, veille, community management, podcast, newsletter…).
J’ai même mis des commentaires (et des notes) pour vous aiguiller sur l’utilité et la prise en main de chaque outil. Sachant que plutôt que de vous balancer une liste de 100 outils références, j’ai restreint ma sélection sur des outils que je connais et que j’utilise (je pourrais donc vous aider si besoin 😉 ).
Cela fait longtemps que je l’avais en tête. J’ai profité du mois de mai pour enregistrer un premier épisode hors série pour “Un Zoom avec Zaide”. L’idée pour ces hors-série sera d’aborder des thèmes en lien avec le travail autres que la reconversion ou l’entrepreneuriat.
“L’inclusion professionnelle des personnes en situation de handicap”
Pour ce premier épisode hors-série, j'ai échangé avec Adrien Abadie au sujet d'un thème qui m'intéresse et que je connais mal parce qu'on parle assez peu : l'inclusion professionnelle des personnes en situation de handicap.
Cet échange a été l'occasion pour Adrien de nous partager son témoignage sur les difficultés qu'il rencontre pour trouver un job, mais également sur les aides et les dispositifs existants pour favoriser l'accès à l'emploi pour les personnes handicapées.
Disponible en version audio en cliquant sur l’image ci-dessous :
Tous les mois, j’essaie de faire un petit “dessin” sur un sujet relatif au travail.
Le mois dernier, je suis tombé sur ce petit dessin “sur Facebook :
Le “dharma”, dans ce cas précis (le dharma semble vouloir dire plein d’autres choses, ndlr), c’est la version simplifiée et indienne de l’ikigai, concept japonais que l’on pourrait traduire par raison d’être.
Ce petit dessin m’a beaucoup plu alors j’en ai fait une version bien à moi :
Leçon n°1 : c’est hyper dur de faire des cercles à main levée.
Leçon n°2 : il faut vraiment que je montre ce dessin à ma fille avant qu’elle se lance dans les études.
Pourquoi TOUT LE MONDE a sa place sur LinkedIn (et les autres réseaux)
Dans la carte blanche n°3, on parlait du principe 90-9-1.
Principe selon lequel, sur Internet, moins de 1 % de la population contribue de façon active.
Pendant ce temps, 9 % participe occasionnellement et 90 % ne contribuent jamais (ce sont des consommateurs passifs, ou des stalkers - je pense plutôt pour la 2e option).
Avant de découvrir cette théorie, j’avais remarqué qu’effectivement, beaucoup de gens étaient assez peu actifs, aussi bien sur les réseaux perso (comme Instagram ou Facebook) que sur les réseaux pro.
Je trouve que c’est une bonne chose de ne pas succomber à la tentation de remplir du vide avec du vide (pour autant, et vous l’aurez compris, ce n’est pas vraiment pas la politique de la maison 😅).
Mais je me suis demandé : pourquoi ?
Pourquoi être présent sur un réseau pro comme LinkedIn sans y communiquer ? Sachant que le but premier de ce réseau est de se vendre, ou de vendre ?
PARLER TRAVAIL ET BUSINESS, UN TRUC ÉLITISTE ?
De clics en clics, je suis récemment tombé sur le post ci-dessous qui m’a beaucoup parlé :
Difficile de ne pas souscrire à ce qui y est dit.
Et pourtant, on tombe sur des commentaires comme celui qui suit :
Et tout à coup, on comprend un peu mieux pourquoi certains n’osent pas trop sauter le pas : Internet est plein de connards.
Alors, en l’occurrence, je crois (j’espère) que le commentaire ci-dessus est 2nd degré.
Mais il me semble quand même plutôt symptomatique d’un univers qui ressemble plus à un concours de kikis géant (je parle du concours hein) qu’à un réseau bienveillant.
Sur LinkedIn, soit tu postes des citations de Ghandi et les “vrais” se foutent de ta gueule, soit tu dis des trucs très intéressants et peut-être qu’on t’acceptera dans le clan des “mortels” (tu sais, les mecs cool dont je faisais pas partie au lycée).
Sinon, tu la fermes.
Si tu n’as jamais connu de “succès”, tu la fermes.
Si tu n’as pas de projet en cours autre que celui de travailler pour remplir le frigo, tu la fermes.
Si tu ne sais pas écrire un post avec une bonne accroche qui donne envie de cliquer sur “…voir plus”, tu la fermes.
Si tu ne sais pas utiliser Canva pour faire un beau visuel, tu la fermes.
BREF.
A l’arrivée, y’a plus vraiment grand monde qui peut l’ouvrir.
Environ 1%, apparemment.
DEVENIR SON PROPRE MÉDIA
Il y a quelques semaines, j’ai eu un rendez-vous commercial pour présenter mes idées pour créer du contenu intéressant pour le web, et les réseaux. Nous avons forcément abordé LinkedIn. Un des dirigeants m’a expliqué que pour lui, le réseau était devenu inintéressant.
Compliqué de lui donner a tort. Entre les 1% (dont je fais partie) qui inondent le réseau d’autopromotion et de posts “inspirants”, et quelques uns qui se croient sur Facebook ou Twitter, c’est un peu la foire.
Mais doit-on s’abstenir pour autant ? N’a-t-on vraiment rien à dire d’intéressant pour parler de nous, de notre travail, de notre entreprise, de nos produits ?
Les réseaux nous donnent l’opportunité de parler de nous pour donner envie à d’autres de nous nous rencontrer pour de vrai pour mieux nous connaître et pourquoi pas travailler ensemble.
Pour finir
J’ai découvert tout récemment un concept intéressant : le biais des survivants.
“Le biais des survivants est une forme de biais de sélection consistant à surévaluer les chances de succès d'une initiative en concentrant l'attention sur les sujets ayant réussi mais qui sont des exceptions statistiques (des « survivants ») plutôt que des cas représentatifs”.
Ce que j’en comprends : on nous expose sans cesse des gens qui ont réussi alors 1) qu’ils sont en réalité minoritaires et donc non représentatifs 2) qu’ils ont eu peut-être (sûrement) de la chance pour en arriver là (je vous invite à regarder cette vidéo pour en savoir plus sur ce point-là).
CONCLUSION
Les réseaux sont toxiques.
Ils peuvent avoir pour effet l’exact opposé de ce que l’on y recherche.
Si on y cherche de la visibilité, il faut s’attendre à y être transparent.
Si on y cherche de la reconnaissance, il faut s’attendre à y récolter du mépris.
Si on y cherche du business, il faut s’attendre à… attendre, longtemps.
Mais si on est prêt à dépasser ces risques, ça peut être un bon moyen de se valoriser et de valoriser ce que l’on sait faire. En montrant ce que l’on veut montrer, de la manière que l’on veut le montrer.
Et si on veut y parler d’un échec, d’un vrai, je suis certain qu’il y trouvera un écho. Un vrai.
Inspirations
3 excellentes ressources pour approfondir le sujet :
une petite vidéo très claire et didactique sur le biais du survivant
une tribune un peu datée (2012) sur la règle du 90-9-1 sur les réseaux professionnels
un billet très complet signé par Killian Talin sur les convictions tranchées, une idée intéressante mais dangereuse pour prendre la parole sur les réseaux
Ancien analyste financier passé par l’EDHEC et l’ESCP, Simon Escoubé a créé en 2012 LSTP, son cabinet de gestion de patrimoine. Au-delà de sa passion pour les courbes qui descendent et qui montent (surtout pour celles qui montent d’ailleurs), il adore jouer au foot, lire des BD et écrire des billets (il préfère lire des BD quand même). Je lui ai proposé de venir faire ici tous les mois un petit billet sur un thème relatif à la finance (manière que vous puissiez frimer à la machine à café).
Désolé mais vous ne pourrez pas trop frimer ce mois-ci. Les planches à billets tournent à plein régime dans le monde entier mais celle de Simon est en panne. En attendant son retour, vous pouvez aller jeter un œil aux précédents articles sur son blog.
RADAR, c’est une application que j’aimerais finaliser en 2021. Elle aura vocation à centraliser des contenus informatifs inspirants sur des sujets de société. En attendant de la lancer, je vous partagerai ici tous les mois une sélection de 5 articles qui m’ont plus dans le mois précédent.
🌐 Société |👀 👀 👀| ”Éric Sadin : nous sommes en pleine crise du « rien commun» ” (L’ADN)
🌍 Environnement |👀 👀 👀| ”États-Unis : la Californie sévèrement frappée par la sécheresse” (France Info)
🚜 Agriculture |👀 👀| ”Flambée des matières premières agricoles: des révoltes en perspective ?” (Investir.ch)
👩🔧 Travail |👀 👀| “Emploi : le gâchis des départs des plus de 50 ans” (Le Monde)
📰 Médias |👀 👀| “Podcast, Clubhouse, streaming... Pourquoi n'avons-nous d'yeux que pour le son ?” (L’ADN)
Uber m’a tuer. (Partie 3)
Le monde des start-up* m’inspire à peu près autant d’admiration que de circonspection. Je m’attache malgré tout à suivre ce qui s’y passe pour y identifier les bonnes pratiques, dans l’objectif, pourquoi pas, de les transposer dans le monde des TPE et PME.
Cela fait donc 2 numéros où je suis pas sympa avec la start-up nation. Après le “On va changer le monde avec notre start-up de iBuying” et le “L’automatisation apporte plus de valeur à la société qu’elle ne détruit d’emplois” (je m’étrangle à chaque fois que je lis cette phrase), l’heure est peut-être arrivée de conclure cette trilogie sur l’uberisation.
Toujours plus
Avant toute chose, je tiens à préciser que je ne mets évidemment pas toutes les start-ups dans le même panier.
Certaines semblent servir à quelque chose.
Mais toutes celles qui arrivent avec une idée révolutionnaire qui consiste simplement à remplacer le travail humain par une machine ou pire, améliorer le confort de quelques uns en exploitant d’autres, me gonflent sérieusement.
Il y a quelques semaines, Everli, une start-up italienne, a levé 100 millions d’euros. Everli vous propose de mettre à disposition un “indépendant” pour aller faire vos courses au supermarché à votre place.
Alors, je peux comprendre que certains trouvent ça pratique.
Mais BORDEL ! Est-ce que l’un de vous estime que cette “innovation” mérite vraiment de lever 100 millions d’euros ?
Si c’est le cas, merci de me faire un signe. Puis de vous désabonner de cette newsletter.
Make exploitation great again
Sous prétexte que l’on ne veut plus se casser le cul à faire des trucs chiants, on crée des métiers merdiques en se disant que c’est une bonne chose pour les gueux qui ont besoin de travailler.
Du coup, certains prennent la confiance et deviennent encore plus cons que ce qu’ils étaient déjà.
Exemple le mois dernier avec Yaya, livreur, qui a reçu ce message :
Il n’y a pas encore si longtemps, mon épouse me demandait s’il valait mieux nous faire livrer une pizza par Uber Eats ou manger les deux endives qu’il nous restait au frigo.
Si on dépasse le fait que c’est quand même très confortable, surtout après une semaine de dure labeur (et c’est pour ça qu’on bosse d’ailleurs merde !), je pense qu’il faut boycotter ce type de prestation pour au moins 2 raisons :
1) en passant par Uber Eats & co, on renforce leur poids dans le chiffre d’affaires des restaurateurs avec 2 principales conséquences : flinguer leurs marges (les commissions pour les livraisons sont énormes) et les rendre trop dépendantes, à terme, de ces prestataires de livraison qui en profiteront pour augmenter encore leurs commissions (profitant de la dépense des restaurants à leur égard) ;
2) surtout, on participe à un système qui détruit le salariat.
A vrai dire, quand je vois qu’Uber a accumulé 22 MILLIARDS de PERTES en 5 ans (oui oui, 22 MILLIARDS de PERTES), je me demande quand même si l’objectif de tout ça n’est pas de gagner de l’argent. Mais juste de détruire le salariat en montrant qu’un autre monde est possible.
Source : NdFlex
Inventer l’eau tiède 2.0
Pour finir, et pour finir en beauté, je vous partage cette fantastique innovation d’Uber Eats.
Asseyez-vous.
Vous n’êtes pas prêts devant tant d’ingéniosité.
Uber Eats a inventé un nouveau concept révolutionnaire.
Qui consiste à commander à manger.
Puis de manger.
Sur place.
Ils appellent ça le “Dine-in”.
Les mecs ont inventé : “la restauration”.
Et ce n’est pas une blague.
Ce n’est pas une blague…
Pour aller plus loin
Petite revue de presse avec quelques articles collectés sur le sujet depuis quelques semaines :
Coronavirus : comment la grande distribution recrute des auto-entrepreneurs face à la crise (Marianne)
L'Espagne donne aux travailleurs des plateformes le statut de salarié (Zdnet)
Just Eat tourne le dos à l’ubérisation en embauchant plus de 4 000 livreurs en CDI (Novethic)
Tous les mois, je vous partagerai 5 coups de coups de cœur. Ca s’appelle “High 5” :
🎧 Podcast | Dans les newsletters que je suis avec attention sur Substack, il y a celle de 15marches qui est un cabinet de conseil en innovation. Le dernier numéro est un podcast dans lequel le fondateur du cabinet raconte “les dessous de cette newsletter : genèse, stratégie, relation avec les lecteurs, doutes et projets”. Franchement, c’est passionnant et ça donne vraiment envie de le rencontrer.
📰 Newsletter | En parlant de newsletter, je suis obligé de vous parler de Citronium, la news d’Eric Dupin, créateur de Presse Citron (qu’il a revendu depuis) et consultant en digital marketing. Une veille (et un style d’écriture) de qualité disponible tous les vendredis, juste avant de partir en week-end.
📺 Carte blanche | Je connais mal Éric-Emmanuel Schmitt mais comme on lui doit “Oscar et la dame rose”, il a droit à mon respect éternel. Et j’ai beaucoup aimé ce petit coup de gueule contre les algorithmes.
🎵 Musique | Ce mois-ci, un peu de hip-hop pour changer. Mais du hip-hop cool, parfait pour travailler en hochant la tête. Pas vraiment connu en France, Russ propose un rap easy-listening et exigeant à la fois. C’est bien produit et ça coule tout seul.
Et je vous glisse aussi ce morceau que j’ai écouté en boucle dernièrement.
🎨 Design | Pour finir en beauté avec ces coups de cœur, je vous partage quelques créations du Supermercat Studio, un studio de design qui propose des compositions photos hyper fraîches et modernes.
… ma dernière carte blanche sur le bien-être au travail…
J’ai quelques éléments complémentaires à vous suggérer :
tout d’abord, ce super billet de Nicolas Galita sur les 7 causes de malheur au travail
cet article de Gaël Chatelain-Berry sur comment améliorer son bien-être au travail
cette infographie sur les bienfaits d’être heureux sur… son travail
Et pour compléter mon dessin sur les versions, je vous invite à écouter ce podcast de Nicolas Galita (oui, encore lui) qui nous parle du livre “Start ugly”, un livre qui évoque le fait qu’il est important de se jeter à l’eau, même avec des choses “moches”. Bref, je vous en dis pas plus :
Voilà, c’était (encore) une nouvelle idée de rubrique qui m’est venue à l’esprit juste après la publication du dernier numéro.
Voilà. C’est tout pour ce mois-ci. Et une fois de plus, c’était sûrement trop.
On se revoit le mois prochain si le cœur vous en dit. Si vous voulez vous abonner, vous pouvez cliquer sur le bouton ci-dessous :
Et si vous voulez partagez ce numéro, vous pouvez cliquer sur le bouton ci-dessous :
Et si vous voulez qu’on travaille ensemble parce que vous trouvez que j’ai plein de bonnes idées (mon book est dispo là), voilà mon mail : monsieur.zaide@gmail.com.
QUI SUIS-JE ?
Romain. 36 ans. Marié et papa d’une petite fille de 3 ans.
Aveyronnais d’origine et Toulousain d’adoption.
Footballeur vétéran et musicien électronique.
Professionnellement, je passe 60% de mon temps à gagner de l’argent grâce à mon job de chargé de comm’ chez DRB et 40% à essayer d’en gagner grâce à mon job de freelance avec La Boîte à Zaide.
SI JE DEVAIS EXPLIQUER MON BOULOT À MA MÈRE
Touche-à-tout, j'aime donner des idées, jouer avec les images et jongler avec les mots. Curieux, créatif et autodidacte, j'accompagne depuis 2 ans différents acteurs dans la valorisation de leurs projets, de leurs produits ou de leurs entreprises pour qu’ils en soient encore plus fiers.
Titulaire d’un Master de la Toulouse Business School et d’une certification d’études politiques à Sciences Po Toulouse, je propose mes services dans divers domaines de la communication :
- Conseil en communication et direction artistique
- Réalisation de vidéos, conception de visuels et rédaction de contenus
- Création d'applications pour smartphones et sites web mobile
- Accompagnement sur les réseaux sociaux et les outils de comm’ numériques
- Veille informationnelle et curation
- Production de supports sonores et musicaux
- Mise en relation aves artistes ou des professionnels de la comm’
POURQUOI BOSSER AVEC MOI ?
Parce que…
- je suis sympa (c'est con, mais ça compte quand on bosse avec des gens)
- je suis curieux de tout et surtout des autres
- je connais bien le monde de l'entreprise (8 ans d'audit, ça aide à comprendre pas mal de choses sur le fonctionnement d'une boîte)
- je passe beaucoup de temps à regarder lire, regarder, écouter le monde qui m'entoure pour m'en inspirer et vous proposer LA bonne idée
- je peux aussi vous mettre en relation avec des professionnels des métiers de la communication et de l'art dans toutes ses formes, grâce à mes différentes expériences culturelles et artistiques.