S01E01 - Premiers pas.
Ce mois-ci : l'interview d'une financière repentie, l'annulation de la dette, pourquoi je travaille sur des projets qui ne rapportent rien, le début de ma saga sur les start-up... et bien plus !
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Pourquoi lancer une newsletter ?
Je vais commencer par vous partager une anecdote. Dans le cadre de mes missions chez DRB, je suis amené à travailler tous les ans sur la carte des vœux pour la nouvelle année, carte qui s’est transformée au fil du temps en vidéo. Chaque année, c’est un enchaînement de casse-têtes : trouver une idée originale, puis écrire le script, puis réaliser la vidéo puis la faire valider avant envoi. Cette année, la 1ère version durait 1 minute 58. Au fur et à mesure des aller-retours, on est arrivé à une version définitive de 1 minute 10.
Même là, on a considéré que la vidéo était trop longue. Pourquoi ?
Parce que sur les tests effectués avant envoi, les gens lâchaient au bout de quelques secondes. Pourquoi ?
Parce qu’aujourd’hui, capter l’attention sur 3 secondes, c’est une VICTORE. Pourquoi ?
Parce que quand on fait une vidéo de vœux dans laquelle on met tout notre cœur, on est en concurrence avec des vidéos de chat, des memes de Bernie Sanders et des articles putaclics qui expliquent que le curcuma c’est très très bon pour le corps.
Alors oui, sûrement que si notre vidéo avait vraiment été béton, tout le monde (ou presque) aurait été au bout des 1 minute 10. Mais doit-on vraiment suivre la tendance et tout réduire pour rentrer dans le moule ?
Pour ma part, j’ai envie de “résister” et ne pas succomber à la tentation du “snack content”.
J’ai envie proposer du contenu dense et long sur des sujets “sérieux” en expérimentant différents formats (du texte, de la vidéo, de l’image ou même de l’audio). Bref, du “slow content”.
Tous les mois, je publierai donc un nouveau numéro de cette newsletter dans laquelle j’aborderai à ma manière des sujets autour du travail, de l’entrepreneuriat, du design, de la finance ou d’autres sujets plus légers.
Pourquoi une newsletter ? Parce que c’est un format auquel je crois beaucoup car il permet de prendre le temps pour dire des choses et raconter une histoire avec une certaine liberté de ton (c’est sûrement pour cette raison que c’est un médium de communication très à la mode - allez jeter un œil ici ou ici).
Mais pour quoi créer une newsletter ?
Je n’ai pas l’intention de monétiser mes newsletters mais en vous partageant mon univers, j’espère vous donner envie de travailler avec moi (en vous aidant à créer, par exemple, votre propre newsletter avec Substack 😉) !
Par ici le programme
Chaque newsletter sera composée de plusieurs rubriques :
un interview (au format vidéo et podcast)
une carte blanche
un petit dessin maison
un billet de Simon Escoube sur un sujet financier
quelques news du monde des start-up
les coups de cœur du mois
Je vous l’ai dit. Ce sera dense. Et si vous êtes arrivé jusqu’ici, alors j’ai déjà gagné une partie de mon pari. Si parmi vous, il y’a mon boss, alors je vais en entendre parler.
“Less is more"" Romain, “Less is more”.
“Un Zoom avec Zaide”, c’est un échange qui explore le changement tout en respectant les gestes barrière. Chaque épisode sera l’occasion d’échanger avec des personnes qui ont quitté leur job pour changer de voie, ou créer la leur. Mon objectif : rencontrer des gens comme vous et moi qui ont fait le grand saut, celui du changement, et parfois de l’entreprenariat. Quête de sens ? Désir d’indépendance ? Besoin de défi(s) ? J’aimerais explorer avec mes invités les raisons qui les ont poussés à faire ces choix, et qu’ils me racontent LE jour où ils ont eu le déclic.
“De KPMG à la Confédération Paysanne”
Ce mois-ci, j’ai échangé avec Laure Celotto qui, après 9 ans chez KPMG, a décidé de délaisser les tableurs et les présentations PowerPoint pour une grelinette et des courbatures. Elle nous parle de sa transition entre son poste de consultante en finance d’entreprise à celui d’apprentie maraîchère bio. L’occasion de comprendre les raisons qui ont mené à ce choix. Lubie de bobo ou vocation ? Quel a été le déclic ? La vie de bureau lui manque-t-elle ? Toutes les réponses dans ce premier épisode de “Un Zoom avec Zaide”.
Bon, je vais être transparent. Pour cet épisode pilote, j’avais besoin d’un cobaye prêt à “essuyer les plâtres”. Mon épouse a donc accepté de jouer le jeu, sans connaître les questions au préalable. Le résultat n’est pas parfait avec une qualité vidéo catastrophique, un son pourri et plein de “euhhhhhhh”. Mais comme souvent, j’ai décidé de privilégier l’intention et l’action. Mon objectif est de rencontrer des personnes inspirantes afin d'apprendre d'elles, et pourquoi pas de moi. Si j'ai réussi à vous donner envie de les rencontrer, alors j'ai réussi ma mission. Allez, je vous laisse découvrir notre échange qui, je l’espère, vous plaira et en amènera d’autres. 2 formats sont disponibles :
1) une vidéo reprenant les meilleurs morceaux de notre échange
2) un format audio “podcast” qui reprend l’intégralité de notre échange, sans coupure, et avec plus de précisions sur son métier chez KPMG et sa vision sur les enjeux agricoles. Il est en écoute sur la page Substack Podcast dédiée à la série “Un Zoom avec Zaide” 👉 https://unzoomaveczaide.substack.com/p/episode-1
Tous les mois, j’essaierai de faire un petit “dessin” sur un sujet relatif au travail. J’avais prévu d’en faire un sur la procrastination, mais ce sera pour le mois prochain.
Ce mois-ci : “Les hauts et les bas quand on travaille sur un projet”.
L’histoire de ma vie créative résumée en un dessin.
Pourquoi je passe BEAUCOUP de temps à travailler sur des projets qui ne me rapportent RIEN
Depuis maintenant 2 ans, je travaille entre 10 et 20 heures par semaine sur différents side projects qui ne me rapportent absolument rien… sur un plan financier.
Qu’est-ce qu’un side project ?
Comme son nom l’indique, un side project, c’est un projet que l’on mène en parallèle de son boulot, sans but financier ou sans intention de développement, et qui n’a pas (forcément) de lien avec son job. Des entreprises comme Apple, Facebook ou, plus proche de nous, Etsy sont nées comme ça.
Pourquoi lancer un side project ?
Le premier, Mooderator, est une plateforme de curation musicale. Le second, Zaide San, est une marque de vêtements fictive (pour l’instant). Le troisième, RADAR, est une plateforme collaborative de veille informationnelle.
Aucun de ces projets n’est à ce jour monétisé (pour des centaines d’heures passées sur 2020 à écrire les projets, développer les applis ou les sites web, écrire et monter des vidéos, réaliser des visuels, faire le community management…).
En revanche, grâce à ces projets, j’ai pu
développer de nouvelles compétences (par exemple : créer des applications pour smartphone)
avoir un espace de décompression où j’ai utilisé mon cerveau sur des sujets autres que des chiffres et ainsi trouver un équilibre intellectuel
m’accomplir en concrétisant des idées ou des projets qui me plaisent
Surtout, grâce à mes side projects, j’ai pu :
acquérir des savoir-faire qui m’ont permis de basculer d’un poste d’auditeur financier à chargé de communication chez DRB
construire un book avec des choses concrètes à montrer et ainsi lancer mon activité en freelance
Comment choisir son side project ?
Si vous avez envie de vous lancer dans un side project, le meilleur conseil que je puisse vous donner est de choisir un projet sur lequel vous aurez plaisir à travailler.
Vous trouverez ici et là des articles qui vous conseilleront de trouver LE projet sur LE bon marché (je vous conseille à ce sujet cette vidéo de Victor Lora, figure de proue du mouvement FIRE en France). Evidemment, si votre objectif est de quitter votre job actuel, ce sera primordial d’avoir un side project monétisable. Pour ma part, j’ai fait le choix de privilégier le côté plaisir au côté financier.
En lançant un side project autour d’une passion, travailler dessus vous procurera beaucoup de plaisir pour un effort réduit. Par exemple, j’adore faire des playlists musicales.
Pour finir
J’ai découvert il y a quelques mois un concept qui m’a beaucoup parlé : celui de “late bloomer” (oui, oui, encore de l’anglais mais ne vous inquiétez pas, j’ai prévu de faire un glossaire très vite).
Un late bloomer, c’est “une personne qui fleurit plus tard, […] qui a attendu la seconde moitié de sa vie pour devenir ce qu'elle avait toujours rêvé d'être.”
Comme le dit très bien Cécile Kapfer, «Il n'y a pas d'âge pour réussir, pour changer de vie, trouver sa voie. »
Alors, vous attendez quoi ?
Inspirations
3 excellents articles pour approfondir le sujet :
“Le “side project” : peut-on avoir un projet personnel en étant en poste ?” par “Welcome to the Jungle”
“Et vous vous avez un side project secret ?” sur le site de Cadremploi
“Les 9 étapes pour (enfin) lancer son side project” par “Pose ta dem” qui propose même une formation sur le sujet ici
Ancien analyste financier passé par l’EDHEC et l’ESCP, Simon Escoubé a créé en 2012 LSTP, son cabinet de gestion de patrimoine. Au-delà de sa passion pour les courbes qui descendent et qui montent (surtout pour celles qui montent d’ailleurs), il adore jouer au foot, lire des BD et écrire des billets (il préfère lire des BD quand même). Je lui ai proposé de venir faire ici tous les mois un petit billet sur un thème relatif à la finance (manière que vous puissiez frimer à la machine à café). Et il m’a envoyé ce qui suit 3 heures après. Franchement, j’ai déjà hâte d’être au mois prochain pour le lire car tous les thèmes que nous avons évoqués ensemble m’intéressent et, j’en suis certains, vous intéresseront aussi. Ce mois-ci : la dette.
Qui veut la peau de la dette ?
C’est le nouveau débat tendance du moment : annulons la dette, comme ça plus besoin de la rembourser !
J’ai souri. Tout d’abord je me suis imaginé aller voir mon banquier pour lui dire la même chose à propos de mon crédit immobilier.
Un crédit immobilier, tout le monde sait comment ça marche. D’ailleurs, pour ceux qui ne me suivent pas sur Linkedin, je suis à nouveau courtier en crédit immo, n’hésitez pas (je vous avais dit qu’il était passé par l’EDHEC et l’ESCP hein).
Un emprunt d’état, c’est différent. Ca ressemble beaucoup à un crédit in fine. Chaque année, vous ne payez que les intérêts, et à la fin il faut rembourser le capital. Bon en général pour rembourser le capital vous reprenez un crédit et c’est reparti pour un tour. En ce moment c’est chouette parce que au moment ou vous le reprenez, comme les taux sont négatifs, vous empruntez 100, vous ne payez rien pendant 10 ans, et à la fin il faut rendre 99 voire moins !
Du coup 2 questions peuvent se poser :
Pourquoi est-ce qu’on ne réemprunte pas tout notre stock de dette pour moins payer ?
Pourquoi est ce qu’on n’annule pas notre dette ?
A ces 2 questions on peut répondre : pour que notre système monétaire continue à tenir debout. Oui c’est un système un peu merdique, bien inégalitaire, oui on pourrait vivre d’amour et de troc, mais quel que soit le système, il y a toujours une monnaie, et ce n’est pas, à mes yeux, l’existence de la monnaie qui est la cause des dérives.
Par contre, quand le système monétaire est mal géré, là ça fait mal. Fort. Longtemps. Demandez aux argentins s’ils ont préféré perdre contre nous en 2018 ou contre le FMI en 2001.
Renégocier tout notre stock de dette d’un coup c’est offrir une indigestion de dette aux acheteurs. Non seulement ils n’en voudront pas, ce qui fera remonter son prix, mais en plus ils questionneront la capacité à maîtriser notre politique d’endettement.
Car oui, quoi qu’on en dise, notre endettement est maitrisé. La France est un pays endetté. Très endetté. Trop endetté. Mais si l’on emprunte à des taux si bas, c’est bien qu’il y a des contreparties prêteuses en face.
Et quand le système monétaire est bien géré, ça aide. Les banques prêtent à la France. Les banques revendent cette dette à la Banque Centrale Européenne. La BCE prête aussi directement aux états. Au moment où il a fallu que tous les états de la zone Euro empruntent massivement pour soutenir les économies terrassées par le Covid, la BCE était là.
Toute cette dette souveraine que la BCE accumule, on ne sait pas si l’on sera effectivement tenu de la rembourser. Ce que l’on sait, c’est que tout le monde a été d’accord pour qu’elle soit là, et qu’en plus de l’objectif monétaire (stabilité des prix de la zone Euro), la BCE a aidé les états dans leur politique budgétaire.
Ce que l’on sait pas, c’est ce qu’il se passerait si on annulait une partie de cette dette. Peut être que certains pays réemprunteraient massivement, incitant tous les autres a faire de même, ce qui créerait une menace inflationniste. La sur inflation, c’est comme le dentifrice et les mots blessants, une fois que c’est sorti, on peut pas faire marche arrière et les conséquences peuvent être très importantes.
Ce que l’on sait, c’est que le système tient le coup, en 2008 comme en 2020.
Les avis, c’est comme les cerveaux. (Presque) tout le monde en a un. J’estime qu’il est bien trop farfelu et hasardeux de vouloir jouer avec le feu et annuler une dette dont ni la charge ni la soutenabilité ne nous menacent. Keep calm and carry on.
Si un jour vous me cherchez, ne me cherchez pas chez Chefing hein.
Le monde des start-up* m’inspire à peu près autant d’admiration que de circonspection. Je m’attache malgré tout à suivre ce qui s’y passe pour y identifier les bonnes pratiques, dans l’objectif, pourquoi pas, de les transposer dans le monde des TPE et PME.
Ce mois-ci, impossible de passer à côté du mouvement #balancetastartup car, comme le dit l’équipe de TechTrash ici, ou les Echos là, ça a balancé sévère.
Tout a commencé par une enquête signée Mediapart sur la start-up "Lunettes Pour Tous” faisant un état des lieux peu glorieux : “Management par la peur, limogeages expéditifs, discriminations raciales ou violences sexistes”… L’article a fait grand bruit dans le monde des start-up et a inspiré le lancement d’un hashtag ET d’un compte Instagram où sont recensés des témoignages anonymes sur les pratiques managériales chez des entreprises connues comme Doctolib, Meero, Lydia, Swile et très récemment Lou Yetu.
Evidemment, le tableau n’est pas tout noir et le compte Instagram dédié partage également des témoignages positifs (dont Dashlane, Alan, Payfit, WTTJ…), tous regroupés ici.
Et si, comme le souligne Laëtitia Vitaud dans son excellent papier sur le sujet, “on s’inquiète de ce tribunal populaire qui fait fi des institutions et dénonce de manière anonyme […], parfois, ces prises de parole en ligne sont la seule manière de faire bouger les choses.” Car oui, comme le dit la créatrice du compte, “de nombreuses personnes disent qu’elles nous contactent car elles n’ont pas de réponse de l’inspection du travail, certaines sont en détresse…“.
Juste avant de boucler cette édition, j’ai découvert qu’un compte Instagram “Balance ta balance” a été créé pour contrer ce mouvement de libération de la parole :
Je suis TRÈS curieux de savoir qui se cache derrière ce compte…
*AU FAIT, C’EST QUOI UNE START-UP ?
Je me suis toujours demandé ce qu’était une start-up. J’ai enfin trouvé une définition assez claire dans cet article de Slate : “Plutôt que de vanter ses résultats réels, comme le ferait une entreprise classique, une start-up met en avant son potentiel: une idée de produit ou la création ex nihilo d'un marché encore inexistant. Pour mettre ces idées en pratique, une start-up a besoin d'investissements importants, qui supposent un équilibre et des profits dans un avenir plus ou moins défini. La profitabilité peut mettre très longtemps à arriver – c'est pourquoi Uber n'a jamais gagné un centime.”
RADAR, c’est une application que j’aimerais finaliser en 2021. Elle aura vocation à centraliser des contenus informatifs inspirants sur des sujets de société. En attendant de la lancer, je vous partagerai ici tous les mois une sélection de 5 articles qui m’ont plus dans le mois précédent.
🌐 Société |👀 👀 👀| Biodiversité, IA, nucléaire… 5 risques systémiques à surveiller en 2021 (et après) (Usbek & Rica) - Attention, ça peut être un peu angoissant…
🚜 Agriculture |👀 👀| Bill Gates, premier propriétaire agricole des Etats-Unis (Les Echos)
💸Finance |👀 👀|“Affaire GameStop : les utilisateurs de Reddit bien décidés à en finir avec Wall Street” (Le Monde)
🕯️Energie |👀|“La Chine a créé une "étoile" artificielle six fois plus chaude que le soleil” (Business Insider)
🎨 Design | 👀 | Les tendances créatives d’Adobe Stock pour 2021 (Le Blog Du Modérateur)
Tous les mois, je vous partagerai 5 coups de coups de cœur. Ca s’appellera “High 5” :
🎧 Podcast | L’épisode n°3 de “Finta !” par Lola Cros qui a reçu Vincent Benoit (et c’est pas parce que c’est un podcast aveyronnais). Je me suis noté cette punchline : “Qu’est-ce que j’ai de mieux à faire que faire du mieux que je peux ?”
📰 Newsletter | “L’ADN Business”, la nouvelle newsletter de L’ADN qui vient compléter “L’ADN Tendances” (une des meilleures que je connais).
📺 Documentaire | “Death to 2020” par Charlie Brooker (créateur de Black Mirror) qui signe un “mockumentary” hilarant sur, il faut le dire, une bonne année de merde.
🎨 Art | Felipe Pantone, un artiste d’art contemporain que j’adore et que j’aurais aimé découvrir avant… Un aperçu de son travail :
🎵 Musique | “Covers” par James Blake (ça date de décembre 2020 mais honnêtement, rien de mieux n’est sorti depuis).
🎁 | BONUS | 😄 LOL | Le compte Twitter du mois : “Equipe 1er degré” parce que ça fait du bien de rire par les temps qui courent.
Voilà. C’est tout pour ce mois-ci. C’était dense mais j’espère que ça vous a plu.
Pour l’instant, c’est beaucoup “moi, moi, moi” mais j’aimerais beaucoup inviter d’autres personnes ici (comme Simon par exemple) pour des cartes blanches par exemple (l’invitation est lancée !).
On se revoit le mois prochain si le cœur vous en dit. Si vous voulez vous abonner, vous pouvez cliquer sur le bouton ci-dessous :
Et si vous voulez partagez ce numéro, vous pouvez cliquer sur le bouton ci-dessous :
Et si vous voulez qu’on travaille ensemble parce que vous trouvez que j’ai plein de bonnes idées (mon book est dispo là), voilà mon mail : monsieur.zaide@gmail.com .
QUI SUIS-JE ?
Romain. 35ans3/4. Marié et papa d’une petite fille de 3 ans.
Aveyronnais d’origine et Toulousain d’adoption.
Footballeur vétéran et musicien électronique.
Professionnellement, je passe 60% de mon temps à gagner de l’argent grâce à mon job de chargé de comm’ chez DRB et 40% à essayer d’en gagner grâce à mon job de freelance avec La Boîte à Zaide.
SI JE DEVAIS EXPLIQUER MON BOULOT À MA MÈRE
Touche-à-tout, j'aime donner des idées, jouer avec les images et jongler avec les mots. Curieux, créatif et autodidacte, j'accompagne depuis 2 ans différents acteurs dans la valorisation de leurs projets, de leurs produits ou de leurs entreprises pour qu’ils en soient encore plus fiers.
Titulaire d’un Master de la Toulouse Business School et d’une certification d’études politiques à Sciences Po Toulouse, je propose mes services dans divers domaines de la communication :
- Conseil en communication et direction artistique
- Réalisation de vidéos, conception de visuels et rédaction de contenus
- Création d'applications pour smartphones et sites web mobile
- Accompagnement sur les réseaux sociaux et les outils de comm’ numériques
- Veille informationnelle et curation
- Production de supports sonores et musicaux
- Mise en relation aves artistes ou des professionnels de la comm’
POURQUOI BOSSER AVEC MOI ?
Parce que…
- je suis sympa (c'est con, mais ça compte quand on bosse avec des gens)
- je suis curieux de tout et surtout des autres
- je connais bien le monde de l'entreprise (8 ans d'audit, ça aide à comprendre pas mal de choses sur le fonctionnement d'une boîte)
- je passe beaucoup de temps à regarder lire, regarder, écouter le monde qui m'entoure pour m'en inspirer et vous proposer LA bonne idée
- je peux aussi vous mettre en relation avec des professionnels des métiers de la communication et de l'art dans toutes ses formes, grâce à mes différentes expériences culturelles et artistiques.
Romain, elle est définitivement cool ta newsletter! En même temps, c’est bien qu’elle soit mensuelle pour nous laisser le temps de la lire 😬